Fin connaisseur de la politique, de la diplomatie et de la géostratégie, le Président de la République du Cameroun qui est sur le point de briquer un 8ième mandat, reste le chef d’Etat le plus admiré à l’échelle planétaire.
Depuis son accession à la Magistrature Suprême le 06 Novembre 1982, Paul Barthélémy Biya est resté lui-même. Discret et imprévisible, le locataire d’Etoudi tient bien la ficèle de sa politique de gouvernance. Malgré toutes les formes de critiques, même les plus humiliantes, le natif de Mvomeka reste calme comme une vipère. Grand architecte de la politique africaine, ‘’l’Homme Lion’’ maitrise bien le jeu et les enjeux de l’occident pour le contrôle des richesses du sol et du sous-sol du pays. Pour ce faire, il n’a donc pas choisi de se présenter pour sa propre réélection au hasard.
L’enjeu de sa candidature vise la préservation de nos richesses et de la stabilité de notre pays, îlot de paix. En soutenant lors de l’annonce de sa candidature de se pencher sur l’avenir des jeunes et des femmes, le Chef de l’Etat entend ainsi prendre d’importantes décisions pour améliorer les conditions de vie de son peuple. Après avoir été transformé au séminaire où il a appris à cultiver l’esprit du pardon et l’amour du prochain et la tolérance. Considéré comme le meilleur élève de la France, Paul Biya sait très bien que les occidentaux ne le chouchoute plus après qu’il ait refusé de renouveler plusieurs accords de partenariats avec eux. C’est pourquoi certaines puissances tapis dans l’ombre seraient en train d’attiser des réseaux terroristes pour semer le chao dans notre pays. Mais alors tous savent que ce vœu de renverser Paul Biya par un coup d’Etat est voué à l’échec. Par sa grande expérience en gouvernance, le président camerounais est la seule bibliothèque que l’Afrique Centrale a la chance d’avoir pour sa bonne gouverne.
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